Simeon Oyono Esono, le chef du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine et ambassadeur de Guinée Équatoriale auprès de la Cédéao qui avait annoncé plus tôt dans l’après-midi que l’Union africaine donnait aux militaires burkinabè 15 jours pour restituer le pouvoir aux civils, faute de quoi elle imposerait des sanctions a ajouté que l’Union africaine était « persuadée que le changement était allé à l’encontre de la démocratie ». « Cependant, a-t-il poursuivi, nous savons que c’est la pression populaire qui a mené à la démission du président. Les forces armées ont profité de ces circonstances pour accéder au pouvoir mais le peuple est à l’origine ».
via Burkina: Zéphirin Diabré annonce une solution de consensus – Afrique – RFI.