Apparently, no sense of shame at all for never having questioned the legitimacy of the regime.
“J’ai perdu deux tanneries avec un stock important de marchandises. Les machines ont été détruites par les flammes, les bâtiments ont été mis à sac, les magasins où étaient stockés les produits finis ont été pillés et incendiés, énumère-t-elle. Les manifestants se sont aussi rendus dans ma carrière de granulats routiers et ont détruit une centrale d’enrobage, une centrale de concassage. Ils ont même détruit le siège d’Azimmo, ma société immobilière.” Les dégâts, selon elle, se chiffrent à 20 milliards de F CFA 30,5 millions d’euros. “J’ai été obligée de renvoyer chez eux mes 1 287 salariés. Quiconque veut gouverner un pays aussi pauvre que le nôtre devrait se préoccuper de préserver les acquis économiques.”